La guilde des voleurs

Publié le par Attila

Créer il y a fort longtemps lorsque des pauvres voulurent devenir riche, la guilde des voleurs a toujours gardé sa principale doctrine : Entraide et Liberté !
Ainsi un membre, tout en agissant à sa guise peut être aidé par celle ci si il respecte les règles suivantes
  • Ne pas tuer ou voler un autre membre de la guilde
  • Ne pas voler un pauvre
  • Ne pas voler un garde impérial ou un membre de l’administration impérial
  • Eviter de tuer.
Pour que la guilde puisse fonctionner, le voleur doit donner 35% de ses recettes toutes les semaines. Cet argent permet de payer des pots de vins, des logis, des services pour les membres voir un assassin si il le faut et ainsi aider les membres de la guilde. De plus, elle permet aussi de payer des hommes de main qui protègent la guilde des autres bandes rivales et font respecter l’ordre et les règles de celle ci.

Toute personne de l’empire peut demander à la guilde de voler pour elle. Elle contacte d’une façon ou d’une autre un maître voleur qui se charge de déléguer la mission a un membre. La mission peut rapporter une grosse prime pour le voleur mais seul les petits contrats sont pris car ces missions sont souvent très dangereuses et trop loin. Pourtant, chaque client y trouve son aise puisque il existe une petite élite de voleurs qui acceptent toujours ce genre de mission dangereuse.
On les nomme les Volgren. Ce sont les meilleurs voleurs de la guilde et les plus riches. Ils font donc cela plutôt par amusement et pas goût du risque que part nécessité. Ces maîtres du vol ont donnés à la guilde sa réputation de voleurs pas excellence et donc lui permet d’avoir les plus gros contrats de vols bien que localisé en Luniver.

La guilde est seulement implantée en Luniver et dans les environs comme en Baldor. Pourtant il existe de nombreux repaires, aussi bien en ville qu’en campagne et ceci dans tout l’empire voir parfois en terres noires ou en Varg. La plupart ne servent que pour éloigner des voleurs de la garde ou pour des missions délocalisés mais certains sont régulièrement habités comme ceux de Luniver. Caché, ils ne sont connus que des voleurs et parfois même que des chefs de la guilde. On y trouve la plupart du temps des lits, quelques tables, chaises et armoire ainsi que un ou deux bureaux permettant ainsi aux voleurs de se retrouver et d’avoir un logement.

Dans la guilde, toute race est acceptée et les voleurs ont tous le même rang. C’est l’égalité de la guilde. De ce fait, nombreux sont les Drazel à y être. La plupart du temps, ce sont des pauvres qui rentre dans celle ci pour apprendre le métier et gagner leurs vie dans un cercle restreint d’amitié, d’entraide, de confiance et d’égalité tout en étant libre en voyant la guilde comme une utopie.
Il existe tout de même des maîtres voleurs qui dirigent chacun un repaire. Ceux ci organisent la guilde et donnent des missions a leurs hommes de mains voir aux voleurs. C’est le rassemblement de tous les maîtres voleurs, au nombre de 9, qui forme le conseil de la guilde et qui dirige celle ci.

Et bien que la guilde reste pacifique dans l’âme, elle n’hésite pas a attaquer voir a tuer pour se protéger. Ainsi, on prêche souvent chez les pauvres la justesse de la guilde et son utopie mais parfois elle est pire criminel qu’un bandit de grand chemin. Par exemple, ses activités, en plus du vol, réunissent la contrebande, l’arnaque et l’extorsion de marchands. Ainsi il n’est par rare qu’un marchand soit tabassé par un homme de main de la guilde pour ne pas avoir donné de l’argent. Quant à ceux qui tentent de les balancer aux gardes, c’est la mort.
De plus, la guilde n’aime pas la concurrence. Ainsi, en Luniver, c’est la reine du crime organisé. Les autres bandes sont toujours réduites a néant peut de temps après leur implantation dans la capitale de l’empire. Quant aux voleurs indépendants, si ils sont trouvés alors ils sont tabassés jusqu'à ce qu’ils rentrent dans la guilde. Si ils refusent, ils ont ordre de fuir la ville ou de mourir.


Publié dans L'univers

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article